Conduire au Panama : tous les tuyaux à avoir dans ses bagages
La conduite au Panama est-elle sûre ? Permis de conduire, règles de conduite, état des routes : tous les conseils pour un road trip réussi
En bref : Il est facile de conduire au Panama. Louer une voiture pour découvrir le pays en toute autonomie est la meilleure des solutions. Quelques recommandations sont tout de même à savoir.
On peut vous aider à optimiser votre itinéraire, et les voyageurs précédents aussi avec leurs carnets de voyages. On vous dit tout sur la location d’une voiture et la conduite au Panama pour que vous n'ayez plus qu’à profiter du farniente sur ses plages de sable blanc.
Conduire au Panama ne requiert pas un permis de conduire international (qui n’est que la traduction officielle de votre permis national), ni une demande spécifique pour avoir le droit de conduire un véhicule de location à l’étranger.
Pour louer un véhicule, les conducteurs devront présenter leur carte de crédit, leur permis de conduire et leur passeport originaux. Une copie ou la photocopie de votre permis ne sera pas acceptée par les agences de location ! Un ressortissant sera autorisé de conduire avec son permis de conduire d’origine s’il effectue un séjour d’une durée de 90 jours maximum.
La route principale, la célèbre Panaméricaine, est limitée à 100 km/h et se trouve plutôt en bon état, alors que sur les routes secondaires, la limitation est de 80 km/h (grand max. !).
Le long de ces axes, vous traverserez des villes ou des villages plus ou moins grands. La limitation de vitesse y est de 40 km/h. Au passage de passerelles pour piétons qui enjambent la route, la limitation est de 60 km/h. Utilisez l’application Waze, très utilisée en Amérique centrale et notamment sur les routes panaméennes. Elle vous sera d’une grande aide pour les limitations de vitesse.
Il n’y a pour l’instant aucun radar fixe sur les routes du pays, mais la police armée de radars mobiles sait se positionner aux bons endroits. Il est possible de conduire au Panama et d’arriver en centre-ville, sur un axe, où la police a installé un contrôle en entonnoir (une sorte de barrage). Le conducteur présentera à l’agent de police le permis de conduire en cours de validité et son passeport (pour prouver la durée de validité du permis de conduire étranger selon la date de votre arrivée au Panama) s’il s’agit d’un simple contrôle.
Sur les grandes routes du Panama, si vous n’enfreignez aucune loi, vous ne serez pas arrêté. C’est seulement en cas d’une infraction que la police vous immobilisera.
De nuit, les contrôles d’alcoolémie sont très fréquents. Les Panaméens misent sur la sécurité routière et la tolérance du taux d’alcool est quasi de zéro. Si vous sortez, optez plutôt pour un Uber ou le taxi. Ainsi, vous profiterez plus des cocktails et du rhum.
Les contraventions s’élèvent à plusieurs dizaines de dollars US. Soyez prudent, cela peut vite encombrer votre voyage de démarches administratives.
L’agent de police peut vous adresser une « boleta » ou une « multa » qui est un procès-verbal en cas d’infraction. Pour s’acquitter de l’amende, il faut se rendre dans un « tránsito » qui est une caisse de paiement des contraventions présente dans chaque grande ville. En échange, le « tránsito » vous donnera un justificatif qu’il faudra présenter lors de la restitution de la voiture (si cela vous arrive, appelez l’Assistance ToutPanama, nous vous aiderons).
Il est possible, mais pas systématique, que l’agent de police vous suggère de vous arranger sur place. La pratique existe. Nous vous en informons mais ne cautionnons pas ce genre de situations. Le mieux pour éviter ces deux situations, est de respecter les limitations de vitesse.
Au Panama, par exemple sur la Panaméricaine qui est une double voie, vous pouvez doubler par la gauche et par la droite (comme aux Etats-Unis). Ne soyez pas surpris et portez – encore plus que la normale – attention aux trois rétroviseurs. La nuit tombe entre 18h et 19h selon la période de l’année. Nous conseillons à nos voyageurs du Réseau Solidaire d’éviter de conduire de nuit, surtout en dehors des agglomérations, car les routes sont très peu voire pas du tout éclairées. Tout comme des piétons, et par manque de trottoirs, vous croiserez des agriculteurs panaméens à dos de cheval (ou autres animaux) au bord de la route.
Prévoyez vos longs trajets le matin pour arriver en milieu d’après-midi.
Vous pouvez vous procurer une carte routière avant votre voyage, mais sachez que la plupart d’entre elles ne seront pas actualisées. Nous en avons fait l’expérience ! Vous pourrez en obtenir une lors du briefing avec un membre de l’équipe ToutPanama qui vous expliquera en détails comment procéder.
Les panneaux de signalisation sont rares, présents sur les grands axes uniquement, et il n’existe pas (ou peu) de noms de rues. Alors, comment fait-on ? Et bien, vous vous rendez d’un point d’intérêt à un autre : hôtels, stations-services, supermarchés...
Que vous ayez demandé l’option GPS ou que vous utilisiez une application, la plupart des points d’intérêt y sont recensés. Les cartes routières sont toujours utiles en cas de problème de réseau avec le GPS ou l’application.
Si vous n’êtes pas à l’aise avec ce genre d’applications ou que vous n'avez tout simplement pas de smartphone, vous pourrez souscrire une option GPS (précisez-le sur votre demande de devis).
Si vous choisissez d’explorer le Panama dans ses moindres recoins, vous aurez probablement quelques obstacles naturels à franchir et en particularité en saison des pluies.
Si vous devez franchir un passage à gué, il faudra bien s’assurer du niveau d’eau. Si celui-ci est au-dessus du genou, ne tentez pas le passage au risque de noyer le moteur.
Les grands axes dont la fameuse panaméricaine sont parfois dans un état surprenant avec divers tronçons de route défoncés, parfois restaurés, parfois parsemés entre portions asphaltées, bétonnées ou jonchées de nids de poule ou nids d'autruche!
La route pour se rendre au port de Cartí (Garti), le port d’attache de l’archipel des San Blas, est seulement accessible en 4x4. Un contrôle est systématiquement fait et vous ne pourrez pas passer avec un autre type de véhicule. Il est vivement conseillé d'utiliser les services de transports Guna.
Vous n’aurez aucun problème à trouver une station essence tout au long de la Panaméricaine et des axes principaux. Au Panama, on se fait servir dans certaines enseignes et on n’est pas obligé de laisser de pourboire.
Attention pour les véhicules à essence (la plupart des voitures de location) : au Panama, l’essence se dit « gasolina », alors que le diesel se dit « diésel ».
Les pneus sont le principal élément de sécurité de votre véhicule. Contrôlez-les avant de démarrer votre voyage et vérifiez aussi que le véhicule dispose bien de la roue de secours et de son cric (dit « gato » en espagnol, comme un chat).
En cas de crevaison, la solution la plus simple est de vous faire réparer le pneu dans le premier garage que vous trouverez. Cela vous coûtera environ 10 USD. Vous trouverez un peu partout en bord de route des garages appelés « llanteras ».
Si le pneu est déchiré et irréparable, il vous faudra alors contacter le numéro d’assistance de notre partenaire afin de suivre la procédure mise en place par le loueur pour y remédier. Ce numéro vous sera remis lors de la prise de véhicule. On pourrait avoir tendance à racheter un pneu, ne le faites pas ! Vous risqueriez de ne pas acheter la marque correcte et de devoir payer une deuxième paire à la fin de votre voyage.
Le vol de véhicule n’est vraiment pas une pratique courante au Panama. Évidemment, ne le provoquez pas non plus !
Pour le vol d’objets dans les véhicules, quelques mesures de bon sens sont à prendre (comme ailleurs) : fermez les portières, ne laissez pas d’objets de valeur visibles, garez votre voiture dans un endroit approprié. L’erreur qui persiste consiste à laisser votre véhicule sans surveillance avec tous vos biens à l’intérieur. Vous ne le feriez pas chez vous, alors ne le faites pas non plus au Panama.
A Panama City et un peu partout dans le pays, si vous vous garez dans des petits parkings, vous aurez l’occasion de rencontrer les « bien cuidado ». Il s’agit de personnes qui s’attribuent une portion de trottoir ou de parking, et se chargent de surveiller les voitures. Au moment où vous repartirez, vous les verrez s’approcher de vous et vous demander quelques pièces. Vous pouvez leur faire confiance.
En général, le passage dans la capitale tropicale est obligatoire avant la découverte du pays et de ses plages paradisiaques de sable blanc, mais la circulation y peut être déroutante.
La conduite dans la capitale n’est pas de tout repos. Il n’y a pas vraiment d’intérêt d’avoir un véhicule dans la capitale, si ce n’est que pour flâner entre la ville moderne et le Casco Viejo. Cela peut finir en un véritable défi pour le conducteur, que ce soit la conduite ou la probabilité de se retrouver bloqué dans les embouteillages. Laissez la voiture au parking de votre hôtel Chez Marc.
Pour rayonner aux alentours de Panama City, visiter les écluses de Miraflores du Canal (les plus proches de la capitale), se promener dans le parc métropolitain, naviguer sur le lac Gatún à travers les îles aux singes, observer la faune et la flore dans la forêt tropicale du parc Chagres ou autres, louer une voiture Classe 1 (des citadines compactes) pour pas cher peut s’avérer idéal, utile et économique. Dans le reste du pays il faut privilégier un SUV de type 4x2.
- Vous avez opté pour un véhicule afin de vous déplacer et découvrir l’isthme de « Panamá » dans ses moindres recoins ?
- Vous voulez visiter ce pays de l’océan Pacifique à la mer des Caraïbes avec ses eaux cristallines, en passant par la capitale et son Canal ?
- Vous voulez faire un road trip jusqu’à la province de Chiriquí et dans les sentiers du volcan Barú, protégé par son parc national ?
- Vous comptez vous rendre jusqu’à l’archipel de Bocas del Toro et ses maisons sur pilotis ?
- Vous avez seulement 2 semaines pour tout découvrir ?
On peut vous aider à optimiser votre itinéraire, et les voyageurs précédents aussi avec leurs carnets de voyages. On vous dit tout sur la location d’une voiture et la conduite au Panama pour que vous n'ayez plus qu’à profiter du farniente sur ses plages de sable blanc.
Conduire au Panama ne requiert pas un permis de conduire international (qui n’est que la traduction officielle de votre permis national), ni une demande spécifique pour avoir le droit de conduire un véhicule de location à l’étranger.
Pour louer un véhicule, les conducteurs devront présenter leur carte de crédit, leur permis de conduire et leur passeport originaux. Une copie ou la photocopie de votre permis ne sera pas acceptée par les agences de location ! Un ressortissant sera autorisé de conduire avec son permis de conduire d’origine s’il effectue un séjour d’une durée de 90 jours maximum.
Code de la route
Vitesse et police
La route principale, la célèbre Panaméricaine, est limitée à 100 km/h et se trouve plutôt en bon état, alors que sur les routes secondaires, la limitation est de 80 km/h (grand max. !).
Le long de ces axes, vous traverserez des villes ou des villages plus ou moins grands. La limitation de vitesse y est de 40 km/h. Au passage de passerelles pour piétons qui enjambent la route, la limitation est de 60 km/h. Utilisez l’application Waze, très utilisée en Amérique centrale et notamment sur les routes panaméennes. Elle vous sera d’une grande aide pour les limitations de vitesse.
Il n’y a pour l’instant aucun radar fixe sur les routes du pays, mais la police armée de radars mobiles sait se positionner aux bons endroits. Il est possible de conduire au Panama et d’arriver en centre-ville, sur un axe, où la police a installé un contrôle en entonnoir (une sorte de barrage). Le conducteur présentera à l’agent de police le permis de conduire en cours de validité et son passeport (pour prouver la durée de validité du permis de conduire étranger selon la date de votre arrivée au Panama) s’il s’agit d’un simple contrôle.
Sur les grandes routes du Panama, si vous n’enfreignez aucune loi, vous ne serez pas arrêté. C’est seulement en cas d’une infraction que la police vous immobilisera.
De nuit, les contrôles d’alcoolémie sont très fréquents. Les Panaméens misent sur la sécurité routière et la tolérance du taux d’alcool est quasi de zéro. Si vous sortez, optez plutôt pour un Uber ou le taxi. Ainsi, vous profiterez plus des cocktails et du rhum.
Les contraventions s’élèvent à plusieurs dizaines de dollars US. Soyez prudent, cela peut vite encombrer votre voyage de démarches administratives.
L’agent de police peut vous adresser une « boleta » ou une « multa » qui est un procès-verbal en cas d’infraction. Pour s’acquitter de l’amende, il faut se rendre dans un « tránsito » qui est une caisse de paiement des contraventions présente dans chaque grande ville. En échange, le « tránsito » vous donnera un justificatif qu’il faudra présenter lors de la restitution de la voiture (si cela vous arrive, appelez l’Assistance ToutPanama, nous vous aiderons).
Il est possible, mais pas systématique, que l’agent de police vous suggère de vous arranger sur place. La pratique existe. Nous vous en informons mais ne cautionnons pas ce genre de situations. Le mieux pour éviter ces deux situations, est de respecter les limitations de vitesse.
Au Panama, par exemple sur la Panaméricaine qui est une double voie, vous pouvez doubler par la gauche et par la droite (comme aux Etats-Unis). Ne soyez pas surpris et portez – encore plus que la normale – attention aux trois rétroviseurs. La nuit tombe entre 18h et 19h selon la période de l’année. Nous conseillons à nos voyageurs du Réseau Solidaire d’éviter de conduire de nuit, surtout en dehors des agglomérations, car les routes sont très peu voire pas du tout éclairées. Tout comme des piétons, et par manque de trottoirs, vous croiserez des agriculteurs panaméens à dos de cheval (ou autres animaux) au bord de la route.
Prévoyez vos longs trajets le matin pour arriver en milieu d’après-midi.
Carte, application ou GPS ?
Vous pouvez vous procurer une carte routière avant votre voyage, mais sachez que la plupart d’entre elles ne seront pas actualisées. Nous en avons fait l’expérience ! Vous pourrez en obtenir une lors du briefing avec un membre de l’équipe ToutPanama qui vous expliquera en détails comment procéder.
Les panneaux de signalisation sont rares, présents sur les grands axes uniquement, et il n’existe pas (ou peu) de noms de rues. Alors, comment fait-on ? Et bien, vous vous rendez d’un point d’intérêt à un autre : hôtels, stations-services, supermarchés...
Que vous ayez demandé l’option GPS ou que vous utilisiez une application, la plupart des points d’intérêt y sont recensés. Les cartes routières sont toujours utiles en cas de problème de réseau avec le GPS ou l’application.
Bon plan du Réseau Solidaire ToutPanama
Les applications type Waze sont très efficaces et beaucoup utilisées par les Panaméens. Achetez une carte SIM, l’équipe ToutPanama vous expliquera en détails le meilleur moyen de s’en procurer une à moindre coût avec Internet illimité et quelques minutes d’appel en local.
Si vous n’êtes pas à l’aise avec ce genre d’applications ou que vous n'avez tout simplement pas de smartphone, vous pourrez souscrire une option GPS (précisez-le sur votre demande de devis).
Les règles de conduite au Panama
Etats des route et obstacles naturels
Si vous choisissez d’explorer le Panama dans ses moindres recoins, vous aurez probablement quelques obstacles naturels à franchir et en particularité en saison des pluies.
Si vous devez franchir un passage à gué, il faudra bien s’assurer du niveau d’eau. Si celui-ci est au-dessus du genou, ne tentez pas le passage au risque de noyer le moteur.
Les grands axes dont la fameuse panaméricaine sont parfois dans un état surprenant avec divers tronçons de route défoncés, parfois restaurés, parfois parsemés entre portions asphaltées, bétonnées ou jonchées de nids de poule ou nids d'autruche!
La route pour se rendre au port de Cartí (Garti), le port d’attache de l’archipel des San Blas, est seulement accessible en 4x4. Un contrôle est systématiquement fait et vous ne pourrez pas passer avec un autre type de véhicule. Il est vivement conseillé d'utiliser les services de transports Guna.
Les stations-services
Vous n’aurez aucun problème à trouver une station essence tout au long de la Panaméricaine et des axes principaux. Au Panama, on se fait servir dans certaines enseignes et on n’est pas obligé de laisser de pourboire.Attention pour les véhicules à essence (la plupart des voitures de location) : au Panama, l’essence se dit « gasolina », alors que le diesel se dit « diésel ».
Les pneus et les crevaisons
Les pneus sont le principal élément de sécurité de votre véhicule. Contrôlez-les avant de démarrer votre voyage et vérifiez aussi que le véhicule dispose bien de la roue de secours et de son cric (dit « gato » en espagnol, comme un chat).
En cas de crevaison, la solution la plus simple est de vous faire réparer le pneu dans le premier garage que vous trouverez. Cela vous coûtera environ 10 USD. Vous trouverez un peu partout en bord de route des garages appelés « llanteras ».Si le pneu est déchiré et irréparable, il vous faudra alors contacter le numéro d’assistance de notre partenaire afin de suivre la procédure mise en place par le loueur pour y remédier. Ce numéro vous sera remis lors de la prise de véhicule. On pourrait avoir tendance à racheter un pneu, ne le faites pas ! Vous risqueriez de ne pas acheter la marque correcte et de devoir payer une deuxième paire à la fin de votre voyage.
Précautions contre le vol
Le vol de véhicule n’est vraiment pas une pratique courante au Panama. Évidemment, ne le provoquez pas non plus !
Pour le vol d’objets dans les véhicules, quelques mesures de bon sens sont à prendre (comme ailleurs) : fermez les portières, ne laissez pas d’objets de valeur visibles, garez votre voiture dans un endroit approprié. L’erreur qui persiste consiste à laisser votre véhicule sans surveillance avec tous vos biens à l’intérieur. Vous ne le feriez pas chez vous, alors ne le faites pas non plus au Panama.
A Panama City et un peu partout dans le pays, si vous vous garez dans des petits parkings, vous aurez l’occasion de rencontrer les « bien cuidado ». Il s’agit de personnes qui s’attribuent une portion de trottoir ou de parking, et se chargent de surveiller les voitures. Au moment où vous repartirez, vous les verrez s’approcher de vous et vous demander quelques pièces. Vous pouvez leur faire confiance.
Conduire à Panama City
En général, le passage dans la capitale tropicale est obligatoire avant la découverte du pays et de ses plages paradisiaques de sable blanc, mais la circulation y peut être déroutante.
Attention
Soyez attentif, les feux tricolores se trouvent de l’autre côté du carrefour (comme aux Etats-Unis). Et soyez vigilant aux priorités, elles sont un peu chaotiques dans ce pays.
La conduite dans la capitale n’est pas de tout repos. Il n’y a pas vraiment d’intérêt d’avoir un véhicule dans la capitale, si ce n’est que pour flâner entre la ville moderne et le Casco Viejo. Cela peut finir en un véritable défi pour le conducteur, que ce soit la conduite ou la probabilité de se retrouver bloqué dans les embouteillages. Laissez la voiture au parking de votre hôtel Chez Marc.
Pour rayonner aux alentours de Panama City, visiter les écluses de Miraflores du Canal (les plus proches de la capitale), se promener dans le parc métropolitain, naviguer sur le lac Gatún à travers les îles aux singes, observer la faune et la flore dans la forêt tropicale du parc Chagres ou autres, louer une voiture Classe 1 (des citadines compactes) pour pas cher peut s’avérer idéal, utile et économique. Dans le reste du pays il faut privilégier un SUV de type 4x2.